mercredi 19 janvier 2011

La révolution de la Liberté

                                  La révolution du jasmin

Ce magnifique pays vert de par sa nature, son odeur de jasmin, son paysage, sa loyauté et son dévouement envers sa patrie, son courage et sa persévérance devant les plus grandes difficultés à restaurer sa liberté, une liberté limitée d’expression afin de lui rendre sa dignité de grand pays de démocratie et de paix.  
Pourquoi, diriez-vous un grand pays, parce qu’il est grand par son courage et sa volonté à défendre son peuple, de certaines agressions violentes.
Pourquoi ne pas s’y prendre pacifiquement et avec diplomatie au lieu d’utiliser les grands moyens destructifs, j’entends parler moralement et physiquement.
Notre indépendance a été acquise par notre ex-président Bourguiba avec le plus exemplaire des actes politiques de diplomatie, en douceur et avec une ingéniosité remarquable de ce grand homme, auquel nous devons beaucoup et beaucoup de respect et d’honneur.
Ce fût l’homme du Peuple, un grand Patriote avec un grand P.
La génération actuelle n’ignore pas l’histoire de son pays, étape par étape, les jeunes hommes de ce pays ne sont pas dupes, ce sont des intellectuels de tous genres, des spécialistes de médias, des grands professionnels de gestion, d’économie, de finances  et de droit qui sont capables de prendre en main toute situation délicate et sensible par rapport au choix à faire, aux procédures à suivre, aux consignes à respecter…
Nous souhaitons tous vivre dans un vrai pays de démocratie, de paix et de dignité et non de corruption et de dictature, et laquelle ? Une dictature masquée par soi-disant des  créations d’associations d’œuvres de bienfaisance, des centres de rééducation pédagogique pour les handicapés, de restos du cœur au mois de Ramadan, dons de provisions, etc.….
Mon paternel en a bavé de toutes ces situations qui ne mènent nulle part, mai heureusement, il en est sorti indemne et sans accusations de vol ni profit dans aucun domaine vital. Ce qui est inadmissible à supporter, mais son courage et son patriotisme en a fait un héros de son temps : sacrifice et humiliation masquées  par son sourire aimable et serein d’un homme noble, convaincu et généreux.
D’où ce paragraphe que j’ai écrit depuis 3 ans dans ce site même où l’on peut s’exprimer librement que j’ai réservé dans la catégorie des blogs de communication sur mon Feu Paternel,  voici ci-après le récit réel d’une partie de sa vie :


Décoré de La Médaille d'Officier de La Légion d'honneur en juillet 1972
Par Feu Monsieur  Georges Pompidou ex-président de la république Française

C'est vraiment dommage, ces hommes là se font rares de nos jours, et en découvrir un de cet historique, c'est un trésor textuel de 4 tomes d'Histoire.

Le militantisme, le dévouement et la loyauté sont des mots et des faits rares de nos jours que de les employer et de les appliquer dans les moments opportuns afin de prouver leur efficacité et leur effervescence.

En effet, c’est la réalité de la vie d’un homme, d’un militant enfoui dans l’ombre mystérieusement ou modestement, mais personnellement, je veux le faire émerger de ce monde des oubliettes où il réside actuellement…il insiste pour s’y éterniser mais je me suis promis à moi-même de raconter son histoire qui me tient à cœur, je la publierai, je l’éditerai, mais je raconterai cette belle expérience en espérant faire savourer aux chers lecteurs, la grande modestie que possède ce grand homme, oui grand, car c’est de sa prodigieuse loyauté dont je parle, une conviction, une autonomie et un dévouement incomparable, et c’est toutes ces qualités qui font de lui un homme génial, populaire, et sociable.

Cela est épatant, lorsqu’on décrit cette ampleur du sacrifice et de la générosité, impressionnant mais très instructif…

De la solidarité au privilège …

Nous commençons cette belle histoire, en espérant toutefois en tirer un bon exemple de la modestie et de la conviction… sans pour autant oublier le dévouement et le grand courage de ce militant dans l’ombre…



Il fût un temps ************



A une époque précise, un homme, un patriote de grande réputation et d’une grande fierté accompagnée d’un dévouement rare de nos jours, vivant dans l’ombre, discrètement, modestement, par fierté ou par complexe, ça, ma foi c’est mystérieux, je n’ai pas su le décrypter. C’est quelqu’un de très discret et très réservé, heureusement bien entouré de sa famille qui veille précieusement sur lui. Il avait cinq enfants, et l’aimaient beaucoup , et l'admiraient pour son courage et son dévouement, sans omettre de mentionner d’un grand S son sacrifice et d’un grand M son militantisme vis-à-vis de son pays. Homme d‘un caractère très humble et très noble, et n’aime guère qu’on parle de lui. Bref, il est modeste et recroquevillé dans sa coquille de militant en immersion. Est-ce son mérite et sa récompense pour s’être détaché complètement de ses origines d’aristocrate pour se rapprocher de son président, à l’époque, le « combattant suprême » disait-il, et était surnommé le fils du suprême, c’est-à-dire du grand patron.

25 ans de courage et de lutte…Un combat sans fin suivi d’une défaite manigancée et manipulée par les plus forts en ce temps là, certaines espèces humaines sans répit qui ont déjà eu pour leur compte ce qu’ils méritent. La malchance a tourné et, ce fût alors là une période critique.
 Ce fût un coup fatal, mais les prestigieuses péripéties vécues lui ont fait oubliées tout ce dont était pour lui, la période « aux épines venimeuses » j’avais attribué cette expression à cette partie de sa vie…




samedi 21 mars 2009

Le Bal des Cygnes

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Hirma & Mirdaf

- Chapitre XI -

Le Bal des Cygnes

Nous sommes actuellement sur la route de la demeure de la famille Braham,
" Je pense que Le Bal a commencé ", marmonna Warda, l’aînée des jeunes filles de Selim.
"Je pense bien, car on entend la musique d’ici ", répliqua sa sœur Nawara .
" On y est, voilà le pavillon des Braham", somptueuse maison que Feu Mr Moussa Braham, grand-père de Teyfik Braham père de Teymour, un grand fermier de grande réputation, construisit depuis un demi-siècle avec beaucoup de fervente volonté de fer malgré qu’il était atteint d’une grave maladie incurable, c’est en quelques sortes un défi qu’il s’est infligé contre son état de santé pas très prometteur afin de réaliser son rêve…

Effectivement, un mois avant sa mort, sa nouvelle demeure était prête pour accueillir son vaillant guerrier courageux et fort, heureux de pouvoir découvrir enfin la réalisation de son rêve : un ranch (comme à la DALLAS).
Cependant, épuisé et exténué, l’arrière grand-père de Teymour commença à sentir la fin, au soupir de ses derniers jours, il appela son fils unique et père de Teyfik pour lui subjuguer ses dernières volontés, et c’est grâce à ce testament que la demeure actuelle lui fût léguée officiellement.

Toutefois, c’était une petite parenthèse conviviale pour vous éclaircir un peu sur l’histoire de la demeure des Braham.

C’est une belle histoire n’est-ce pas ?.....

Bref, nous sommes juste devant une des trois principales entrées de la résidence, les gardiens nous font signe d’entrer, ils nous ont reconnus et accueillis avec beaucoup de respect et de gentillesse. Ils nous ont accompagnés eux-mêmes à la grande salle des bals, une salle qui rappelle celle des mille et une nuit.
Elle était pleine de gens de la haute société, le bal des Cygnes avait commencé, nous aperçumes de loin Teymour et sa fiancée danser entourés d’un cercle de personnes, sûrement de la famille, applaudissant et acclamant les heureux fiancés.

Soudain, Mr Teyfik et son épouse Mme Braham, comme par enchantement, s’approchèrent de nous pour nous inviter à danser et nous joindre à eux, c’était une joie entièrement flagrante qui régnait dans ce château contemporain.
Nous dansâmes pendant toute la soirée , et brusquement, la musique s’est arrêtée, nous remarquâmes l’insistance de Mr Braham à vouloir faire un discours inopiné…

« Ecoutez-moi tous s’il vous plaît, j’ai eu l’honneur de vous inviter tous à cette grande soirée pour vous annoncer les fiançailles de mon fils Teymour et Shérazade, mais encore également ceux des enfants de Mirdaf et Selim mes humbles et dévoués serviteurs, « Warda et Jinouss », approchez mes enfants, Mr Braham leur faisant signe de la main, n’ayez point honte, vous êtes ici chez vous, ceux sont aussi mes enfants ; aujourd’hui c’est un beau jour pour tout le monde et c’est aussi la soirée de vos fiançailles, mes très chers.
Baba Sombol et les deux mamans étaient au courant, mais ont préféré garder le secret pour que la surprise soit plus grande, fort heureusement ils leur ont fait porté de beaux habits, les meilleurs qu’ils possédaient dans leur placard.

Effectivement, très grande fût la surprise de Warda et Jinouss lors de l’annonce de leurs fiançailles par les Braham. « C’est un grand homme », chuchota Jinouss à son père Mirdaf.
C’est un grand bonheur et une grande fête pour les quatre familles réunies.

Nous sommes à la fin de la soirée et tout le monde commençait à se diriger vers la grande porte de sortie, chacun rentrait chez soi avec un grand soulagement et un très bon souvenir de cette inoubliable soirée et ce magnifique bal des cygnes.

à suivre…

mardi 17 février 2009

HIRMA & MIRDAF....Chapitre X



La Bonne Fée des Nuages

« Maman, maman !!! », criait de joie Samar en se réveillant tôt le matin, « j’ai rêvé une autre fois de cette lueur qui entourait mon frère Hilel, te souviens-tu ? il y a de cela quelques temps, mais cette fois-ci elle l’illuminait plus ce que l’autrefois en faisant apparaître une belle silhouette de jolie femme portant une longue robe brillante avec des strass de différentes couleurs et une couronne sertie de diamants et de perles sur sa tête, vêtue somptueusement comme une reine et tenait dans ses mains une longue et brillante baguette magique… c’était bel et bien une bonne fée, pensais-je dans mon rêve », «ton frère guérira très bientôt Samar, ne t’inquiète pas et rassures toute ta famille », me souffla t- elle, et disparût comme dans les nuages en me lançant : « je retournerais un autre jour, et ma présence sera le plus beau jour de votre vie » et disparût.


Alors, maman qu’est ce que tu en penses de cette belle vision… ? Ma foi, je ne peux que souhaiter le meilleur pour ton frère âgé maintenant de seize ans.


A l’époque , les familles mariaient leurs enfants très jeunes….
Bref, tout peut arriver….Mais !!!!!!!!.........On devait marier avant les aînés et puis les derniers nés de la famille.


Bientôt le jour de l’anniversaire de Warda, devenue une grande jolie jeune fille et promise à Jinouss, MIRDAF avait prévu ce jour là pour annoncer les fiançailles de sa fille avec le prétendant fils de son voisin et son ami Selim…. « Comment est - ce que MIRDAF a oublié que Monsieur Braham a demandé la main de sa fille Warda pour le fils Teymour ? », pensait Karima, sa mère.
Ne précipitons pas les événements, attendons de connaître l’avis de la jeune fille.


Cependant, à la surprise de toute la famille, Baba Sombol les a informé que, pendant ses études, Teymour Braham avait connu une autre jeune fille étudiant dans la même branche que lui.


En effet, après avoir su la vérité auprès de Monsieur Selim, gêné de la situation à laquelle il était confronté, Teymour n’a pas voulu insister et leur imposer sa demande en mariage pour Warda, nous ne pouvons pas y retourner là-dessus ; ce qui est fait est fait et programmé déjà par les deux familles.


De bonne souche, Teymour élevé dans une bonne famille, dans un environnement sain et bien éduqué des bonnes habitudes et des bonnes manières, a refusé de les mettre dans l’embarras à cause de son choix sur la personne de Warda, et puis aussi Madame Braham n’étant pas très consentante dès le début, cela posait un problème pour Teymour, on le sait très bien, une femme du monde, elle préférait les grandes mondanités, très superstitieuse et de caractère un peu spécial ne s’accordant point avec ceux de ses gentils et respectables voisins, ….

Les familles MIRDAF et SELIM sont des gens simples et modestes mais riche en terme de bonne éducation. Solidaires et sociables, ils sont présents à tout moment pour aider les personnes en cas de besoin et dans les moments les plus difficiles.

En conséquence, tout ce fracas ne dérangeait point les deux futurs fiancés , enfin rassurés quant à leur avenir et pensèrent plutôt aux préparatifs de l’anniversaire prévu pour bientôt.

A l’occasion de sa fête, Warda aura 20 ans, et il lui reste une année pour terminer ses études.

Déjà, elle s’est entraînée à donner des cours de géométrie aux enfants du voisinage… Eh ! oui… C’est une jeune fille bien appliquée et très intelligente.


On annonça dans la contrée, qu’un bal aura lieu bientôt chez les Braham, à l’occasion des fiançailles de leurs enfants « Teymour et Shérazade ».


A suivre….

HIRMA & MIRDAF....Chapitre IX

Le Grand Jour

La fête du village a commencé tôt le matin…
Ce jour là était marqué par la splendeur du décor et surtout par la joie de cette communauté réunie pour un seul but : faire la fête, danser, chanter et manger, bref, bien s’amuser et profiter de ces instants de bonheur.

Les rues étaient pleines de fanfares et de défilés de personnes déguisées comme au bal masqué, des clowns, des soldats, des poupées et des animaux comme dans les histoires de Walt Disney et les contes de fées, toutes sortes de déguisement, même celui des mille et une nuits, même Zorro et Lucky Luck étaient présents , ainsi que Blanche neige et les sept nains…

La course des chevaux allait bientôt commencer, on voit déjà quelques-uns des spectateurs se diriger rapidement vers l’hippodrome pour occuper leur place. D’autres allant à la buvette, pour acheter leur boisson et leur collation, certains jouaient aux cartes dans les cafés du coin, des majorettes froufrou en mains faisaient partie du spectacle, des jeunes filles déguisées en bonnes fées, c’était la fête totale.

Finalement, à minuit précise, les rues étaient vides et tout le monde épuisé est rentré pour une longue nuit de sommeil.

Le lendemain matin, par une belle journée ensoleillée, le Maire du village a annoncé à tous ceux qui ont participé à la fête qu’ils devaient nous honorer de leur présence au festin qu’il donnera à la Place des Camélias dans le fameux « Jardin des plantes » de la contrée.

A la surprise de toute la famille Mirdaf et Selim, les gens du village ont tous participé aux préparatifs de ce grand banquet.

Incroyable mais vrai, une omelette et une galette géante était parmi les plats sélectionnés dans le menu, comme les moutons farcies et les côtelettes de veaux à la sauce aux champignons, les grandes salades vertes garnies de tomates et de tranches de jambons de dinde, avec au milieu de la table un grand saladier plein de mayonnaise à la moutarde, une grande saucière en porcelaine pleine de sauce vinaigrette à l’ail et aux fines herbes, beaucoup de grillades de poisson d’eau douce et d’autres espèces marines comme les fruits de mer et les crustacés, même les truffes étaient au menu de ce grand repas de fêtes. Au moins, trente variétés de fromages, inclus bien sûr le fameux fromage de chèvre moelleux et le Gruyère des montagnes suisses.

Les heures passèrent tellement vite, que le crépuscule arrivait déjà pour marquer presque la fin de cette belle journée commémorative.

« Oh !!! dommage », s’exclamèrent les filles de Selim, la fête est finie".
Nous devions rentrer chez nous pour retrouver notre prairie et nos chers animaux, la routine, comme à l'accoutumée, sans oublier notre cher Hilel et maman Kerima, il ne pouvait plus bouger avec sa bosse, pauvre chéri. Plus il avance dans l’âge, plus il trouve des difficultés pour gesticuler…

Ainsi, chaque famille se recroquevillât chez elle, bien au chaud, retrouvant baba Sombol qui avait préalablement mis du bois dans la cheminée pour réchauffer cette jolie cabane en bois , et comme celui-ci retient spécialement la chaleur aux parois murales, on ne sentait pas du tout le froid de l’hiver.

Les jours passèrent paisiblement, les récoltes étaient bonnes…
Les ressources s’amélioraient au fur et à mesure du temps et des travaux en cours de restructuration des techniques agronomiques pour le développement des élevages de bovins et de volailles.

Les années aussi…et bien sûr, les enfants ont grandi aussi…

Jusqu’à ce qu’un beau jour….

jeudi 29 janvier 2009

Warda & Nawara....Chapitre VIII - Hirma & Mirdaf

Warda & Nawara

Warda & Nawara ont appris la nouvelle de la fête et tout le programme du séjour en ville de la famille de Mirdaf…
« Papa, papa !!! maman, maman !!! » s’exclamèrent-elle, il faut absolument que nous allions nous aussi participer à cette fête, s’il te plaît, papa Selim, emmène-nous ».
Il regardait Karima d’un œil timoré mais rassuré, il fallait donc réfléchir à la façon de gérer la situation .
Ah !!! j’ai trouvé la solution », disait-il à sa femme, la famille Mirdaf prennent toujours le même chemin que nous lorsqu’ils descendent au village et c’est une famille exemplaire à qui je peux confier mes enfants sans problèmes », ajoutait-il d’un air serein.
« En conséquence, j’accompagnerais les fillettes sur la route et ainsi nous attendrons la voiture de nos voisins.
« Au fait, elle va bientôt passer, allez les filles préparez vos affaires, c’est bientôt l’heure, dépêchez-vous, sinon vous allez rater la grande fête avec nos amis », nous vous rejoindrons peut-être plus tard ».
Warda & Nawara étaient très contentes et étaient déjà prêtes grâce à Karima leur maman bien attentionnée qui a pris soin de s’en occuper assez rapidement pour qu’elles soient à l’heure.
Elles descendirent la passerelle de leur cabane et suivirent leur père vers la route principale de la prairie. Cependant, arrivés à destination, Warda aperçut de loin une voiture (une calèche) s’approchant de l’endroit où ils se trouvaient.
« Oh !!! Papa, quelle joie, ils s’approchent de plus en plus, c’est eux, j’en suis sûre et certaine », s’exclama Nawara. Elle avait raison, avec son œil très observateur, elle les avait vite repérer.
Enfin, ils sont là…..
Par contre, le père Mirdaf était surpris de les trouver sur la route : « le père Selim aurait pu me prévenir afin de leur éviter tout ce chemin qu’ils ont fait jusqu’ici ». J'aurais pu envoyer Jinouss les chercher avec la calèche.
Toutefois, la famille de Baba Sombol était heureuse du fait qu’ils vont passer le séjour ensemble au village et bien s’amuser pendant la fête. C’était une joie immense qui régnait dans cette contrée du village. C’est une fête très importante célébrée une fois par an. Par conséquent, il fallait y assister et surtout en profiter entièrement.
"Tout le monde en voiture, nous allons cavaler pendant une heure environ", lança Mirdaf à tout ce groupe de petite famille.Ah! j'ai omis de vous signaler, en fait, la remarquable présence de nos fameux pur sang « Bouton d’or » et « Diamant noir » qui faisaient également partie du voyage , ils étaient notre escorte mais nous rejoignimes un peu tardivement.
En réalité, ils devaient nous accompagner sous les ordres de Monsieur Le Maire transmis un peu tard mais juste à temps afin que Mirdaf fasse le nécessaire pour que les ordres soient appliqués avec soin , une compétition de courses de chevaux les attendait à l’hippodrome du village.Et plein de surprises encore que nous évoquerons la prochaine fois.

à suivre…